jeudi 10 mai 2012


Jour 7

Hummm…je dois choisir quel énoncé est le plus important pour moi.
OK! Réchéflissons! C’est comme l’œil de Friscotte Colomb!..haha!...la majorité de mes compagnes de cours vont se demander de quoi je parle..ahhh la jeunesse…haha!

Bon, j’ai réfléchi et j’en suis venue à la conclusion que l’énoncé le plus important comme piste de solution pour survivre au progrès est définitivement l’éducation. Il faut que l’éducation soit accessible à tous et partout. Nous devons connaitre et comprendre les cultures, les enjeux, les valeurs et les motivations de nos voisins, qu’ils soient à 5 km ou à 50 000 km de nous. Wright a écrit qu’à l’étude des civilisations disparues, on avait constaté que les peuples avaient évolué pratiquement de la même façon, malgré le fait qu’ils étaient séparés géographiquement. Pour moi, ça démontre bien que la nature humaine est à la base semblable. C’est en cours de route, malgré le rapprochement géographique, que nous nous sommes éloignés les uns des autres sur le plan des valeurs, des mœurs et des motivations. Alors, il me semble évident que pour rapprocher les populations à un même constat, celui des pièges du progrès, nous devons rendre l’éducation accessible à tous.

Maintenant, celui qui me semble le moins pertinent..bon ben là j’ai beau réfléchir et réchéflir, je ne peux pas en nommer un..quand même bizarre hein! 

Mais non ce n’est pas bizarre parce que pour moi ces énoncés sont tous reliés. La réalisation d’un engendre systématiquement la réalisation de l’autre, quel que soit l’ordre dans lequel ils se produisent. À mes yeux, leur importance est égale. 

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